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Freenews :

L'actualité des Freenautes, de Free et sa Freebox, Free Mobile, Freebox TV, FTTH et des télécoms
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Amazon Prime Video sans publicité via Freebox Ultra

Freenews par Isabelle Deromas Lebocq le 25/04/2025 à 11:00:00 - Favoriser ||| Lu/Non lu

balise alt = Prime Vidéo Freebox Ultra

Avec l’arrivée de la Freebox Ultra, les abonnés Free peuvent profiter pleinement des services proposés par Amazon Prime, dont Prime Video. Une des nouvelles possibilités particulièrement appréciée est l’option permettant d’accéder aux contenus Prime Video sans publicité. On vous dit comment gérer facilement cette fonctionnalité directement depuis votre Espace Abonné Freebox.

Activer l’option Prime Video sans publicité

Pour profiter pleinement de l’option Prime Video sans publicité proposée avec votre Freebox Ultra, il est indispensable, dans un premier temps, de vous assurer que votre compte Prime Video est bien activé et rattaché à votre espace abonné Freebox. Cette étape est essentielle pour pouvoir accéder à l’ensemble des fonctionnalités de l’option.

  1. Connectez-vous à votre Espace Abonné Freebox
    Rendez-vous sur le site officiel de Free et connectez-vous à votre Espace Abonné à l’aide de vos identifiants personnels.
  2. Accédez à la section dédiée à Amazon Prime
    Une fois connecté, dirigez-vous vers la rubrique « Télévision » dans le menu de navigation de votre espace personnel, puis sélectionnez l’onglet « Amazon Prime ».
  3. Souscrivez à l’option Prime Video sans publicité
    Dans cet espace, vous verrez apparaître la mention « Option Prime Video sans publicité ». Cliquez alors sur le bouton « Souscrire » pour lancer le processus d’activation.
  4. Confirmez votre choix
    Afin de valider définitivement votre souscription, il vous sera demandé de confirmer votre décision en cliquant sur « Je confirme ».
  5. Connectez-vous à votre compte Amazon
    Après cette confirmation, vous serez automatiquement redirigé vers une page de connexion sécurisée Amazon. Saisissez vos identifiants Amazon, c’est-à-dire votre adresse e-mail et votre mot de passe, pour rattacher votre abonnement Amazon Prime à votre compte Freebox.
  6. Activation immédiate de l’option sans publicité
    Dès que votre connexion à Amazon est validée, l’option Prime Video sans publicité est immédiatement activée. Vous pouvez alors commencer à profiter de vos contenus sans interruption publicitaire.

Bon à savoir

L’option Prime Video sans publicité est facturée sous forme d’un abonnement mensuel. Le montant de cette option est directement intégré à votre facture Freebox, ce qui simplifie sa gestion :
➡ Pas de paiement séparé auprès d’Amazon, ni de gestion additionnelle de votre côté.
➡ Une seule facture regroupant l’ensemble de vos services Free, incluant cette option si elle est activée.

Pensez à vérifier les conditions tarifaires lors de votre souscription, ainsi que la compatibilité de votre offre Freebox avec cette option.

Désactiver l’option Prime Video sans publicité

Si vous ne souhaitez plus bénéficier de l’option Prime Video sans publicité proposée avec votre Freebox Ultra, sachez que sa résiliation est simple et rapide, et se réalise directement depuis votre Espace Abonné Freebox. Voici les étapes à suivre :

  1. Connectez-vous à votre Espace Abonné Freebox à l’aide de vos identifiants habituels.
  2. Une fois connecté, rendez-vous dans la rubrique « Télévision », puis cliquez sur « Amazon Prime ».
  3. Sous la section « Option Prime Video sans publicité », sélectionnez l’option « Résilier ».
  4. Pour valider votre demande, il vous sera demandé de confirmer votre choix en cliquant sur « Je confirme la résiliation ».

Une fois la résiliation confirmée, votre accès à l’option sans publicité restera actif jusqu’à la fin de votre période de facturation en cours. Passé ce délai, l’option sera automatiquement désactivée et ne vous sera plus facturée.

Cette démarche n’impacte pas votre abonnement principal à Amazon Prime si vous en possédez un par ailleurs, mais uniquement l’option spécifique liée à la Freebox Ultra. Pensez donc à bien vérifier les conditions de votre offre si vous êtes également abonné directement auprès d’Amazon.

Point important à noter

Gardez à l’esprit que si vous décidez de résilier complètement votre abonnement Amazon Prime, l’option sans publicité sera automatiquement résiliée en même temps. Il est donc essentiel d’évaluer vos besoins avant d’entreprendre une telle démarche.

La Freebox Ultra simplifie ainsi grandement l’expérience utilisateur, centralisant la gestion de vos abonnements et options de divertissement en streaming. Cette intégration permet à chacun de contrôler aisément ses préférences en matière de publicité sur Prime Video, tout en conservant un accès intuitif et rapide.

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Orange : un premier trimestre 2025 marqué par une dynamique commerciale ralentie

Freenews par Isabelle Deromas Lebocq le 25/04/2025 à 10:00:00 - Favoriser ||| Lu/Non lu

balise alt = résultats Orange T1 2025

L’opérateur historique Orange a présenté ses résultats financiers pour le premier trimestre 2025, affichant une activité en retrait sur le marché français, aussi bien en matière de recrutement d’abonnés que de chiffre d’affaires. Si certains indicateurs, comme la fibre optique et le revenu par abonné, montrent des signes de résilience, la croissance commerciale reste modeste, dans un contexte de forte concurrence et de mutation du secteur.

Un recul du chiffre d’affaires malgré la fibre

Sur les trois premiers mois de l’année, Orange France a enregistré un chiffre d’affaires de 4,297 milliards d’euros, en baisse de 1,3 % par rapport à la même période de 2024. Cette contraction s’explique principalement par la poursuite de l’érosion des services fixes traditionnels (RTC) et la baisse des revenus liés aux services aux opérateurs. Le recul est partiellement compensé par la progression des services de détail hors RTC et par le dynamisme du segment fibre.

Recrutements : un trimestre en demi-teinte

Le premier trimestre 2025 confirme le ralentissement des recrutements observé depuis la fin 2024. Orange affiche un gain net de 4 000 abonnés mobiles et 2 000 nouveaux clients sur le fixe. Ces résultats marquent un net repli par rapport au quatrième trimestre 2024, où l’opérateur avait enregistré une dynamique commerciale beaucoup plus soutenue, notamment avec 118 000 abonnés mobiles supplémentaires.

Le segment de la fibre reste toutefois le principal moteur de la croissance commerciale d’Orange. L’opérateur a recruté 282 000 nouveaux clients fibre au cours du trimestre, soutenu par la poursuite des migrations depuis le cuivre. Au total, près de 41 millions de foyers sont désormais raccordables à la fibre Orange, représentant environ 93 % de la couverture nationale.

Des revenus par abonné en légère progression

L’ARPO convergent (revenu moyen par abonné sur les offres fixes et mobiles combinées) progresse à 77,8 euros, soit une hausse de 3 euros sur un an. Cette augmentation contribue à une croissance de 3,4 % des revenus convergents. L’ARPO fixe haut débit enregistre également une hausse, confirmant une relative stabilité des revenus moyens malgré le ralentissement commercial.

Une activité internationale plus porteuse

À l’échelle du groupe, Orange affiche un chiffre d’affaires global de 9,911 milliards d’euros, en hausse de 0,6 % sur un an. Cette croissance s’appuie notamment sur les performances en Afrique et au Moyen-Orient, où l’opérateur enregistre une progression à deux chiffres pour le huitième trimestre consécutif. La croissance des services B2B, en particulier dans la cybersécurité et la 5G+, vient également soutenir les résultats du groupe à l’international.

Malgré une activité commerciale plus poussive sur le marché français, Orange maintient ses objectifs annuels, notamment une légère croissance de son EBITDAaL en 2025, supérieure à celle enregistrée en 2024.

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Partage de comptes : Max (HBO) suit Netflix et Disney+ avec une surtaxe pour les abonnés

Freenews par Isabelle Deromas Lebocq le 25/04/2025 à 09:00:00 - Favoriser ||| Lu/Non lu

balise alt = partage de comptes Max HBO

La plateforme de streaming Max (ex-HBO Max) rejoint Netflix et Disney+ dans la lutte contre le partage de comptes entre utilisateurs ne résidant pas sous le même toit. Une stratégie déjà bien rodée chez ses concurrents, qui s’accompagne d’une tarification spécifique pour les utilisateurs souhaitant ajouter un membre externe à leur abonnement.

Une surtaxe de 7,99 dollars par mois aux États-Unis

Depuis quelques jours, aux États-Unis, les abonnés de Max doivent désormais s’acquitter d’un supplément de 7,99 dollars par mois (environ 7,04 euros) pour pouvoir partager leur accès avec une personne extérieure à leur foyer. Cette mesure concerne toutes les formules d’abonnement, y compris l’offre de base à 9,99 dollars avec publicités, dont le tarif grimpe ainsi à 17,98 dollars si un partage est activé. Pour l’offre premium 4K, la facture passe de 20,99 à 28,98 dollars par mois en cas de partage.

Le dispositif mis en place par Max permet à l’abonné d’inviter une seule personne supplémentaire, laquelle bénéficie de son propre compte, mot de passe et profil utilisateur. Pour l’instant, cette mesure ne s’applique qu’aux abonnés américains, mais la plateforme laisse entendre qu’elle pourrait être étendue à d’autres marchés, dont l’Europe et la France.

Un modèle devenu standard dans l’industrie du streaming

Netflix a ouvert la voie en 2023 avec une option de partage facturée 5,99 euros par profil supplémentaire. Disney+ a rapidement suivi avec une surtaxe de 4,99 euros par mois. Cette approche commerciale vise à compenser la baisse de croissance des abonnements et à renforcer la monétisation de l’audience existante, dans un contexte où la concurrence s’intensifie et où le marché arrive à maturité.

Les chiffres témoignent de la complexité de cette stratégie : si Netflix revendique aujourd’hui plus de 301 millions d’abonnés payants, Disney+ a perdu 700 000 abonnés sur le dernier trimestre, en partie à cause des hausses de prix et de la facturation du partage de compte.

Max ambitionne 150 millions d’abonnés d’ici 2026

Avec actuellement 116,9 millions d’abonnés dans le monde, Max (propriété de Warner Bros. Discovery) vise les 150 millions d’ici la fin 2026. Dans cette optique, la limitation du partage de comptes s’inscrit dans une logique d’optimisation des revenus, alors que la plateforme a longtemps bénéficié de l’exposition offerte par le partage gratuit, notamment lors de ses premières années de croissance.

Cette évolution reflète une transformation structurelle du modèle économique des plateformes de streaming, qui cherchent désormais à consolider leurs bases d’abonnés et à sécuriser leurs marges, quitte à mettre fin à des pratiques longtemps tolérées.

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IA générative : la régulation s’organise à l’échelle mondiale

Freenews par Isabelle Deromas Lebocq le 25/04/2025 à 08:00:00 - Favoriser ||| Lu/Non lu

balise alt = régulation IA générative

Alors que l’intelligence artificielle générative s’impose comme un levier majeur d’innovation, les États adoptent des politiques très contrastées pour encadrer son usage. Transparence, responsabilité, sécurité : les lignes directrices varient fortement entre régions, révélant des perceptions différentes du rapport entre technologie, éthique et souveraineté numérique.

L’Europe en première ligne avec l’AI Act

L’Union européenne s’affirme comme le leader mondial de la régulation de l’IA avec l’adoption de l’AI Act, premier cadre juridique contraignant sur l’intelligence artificielle.

Ce texte impose plusieurs obligations majeures : la transparence sur les données d’entraînement utilisées par les modèles génératifs (tels que ChatGPT ou Gemini), la signalisation systématique des contenus produits par IA (textes, images, vidéos) et l’encadrement strict des systèmes dits « à haut risque » (secteurs de la santé, de la sécurité ou de l’éducation).

En cas de non-respect, les sanctions prévues peuvent atteindre jusqu’à 7 % du chiffre d’affaires mondial de l’entreprise concernée. Cette démarche ambitieuse place la protection des citoyens et la confiance dans les technologies au cœur de la stratégie européenne, quitte à limiter l’innovation dans l’immédiat.

Chine : encadrement sécuritaire et contrôle politique

À l’opposé, la Chine adopte une logique de contrôle étatique fort, justifiée par des impératifs de sécurité nationale et de stabilité sociale.

Le gouvernement chinois impose l’enregistrement obligatoire des systèmes IA auprès des autorités, une modération proactive des contenus générés par intelligence artificielle et une surveillance renforcée des plateformes.

Lutte contre les deepfakes, censure des informations sensibles : le dispositif chinois se concentre davantage sur le contrôle politique que sur la simple protection du consommateur.

Royaume-Uni : souplesse assumée pour favoriser l’innovation

Le Royaume-Uni opte pour une régulation dite « light-touch », misant sur la responsabilisation des acteurs plutôt que sur des règles strictes. Aucun cadre juridique spécifique n’a été voté à ce jour, mais les recommandations issues de l’AI Safety Summit de 2023 fixent quelques lignes directrices.

La régulation repose en grande partie sur les agences sectorielles (finance, santé…) qui adaptent les principes de sécurité aux particularités de chaque domaine. Le Royaume-Uni entend ainsi maintenir son attractivité en tant que hub d’innovation technologique tout en posant des garde-fous minimaux.

États-Unis : entre autorégulation et premières lignes directrices

Les États-Unis, de leur côté, n’ont pas encore adopté de loi fédérale dédiée à l’IA. Toutefois, un Executive Order signé fin 2023 par le président Joe Biden marque un premier pas vers l’encadrement des systèmes les plus puissants.

Il prévoit notamment des exigences en matière de tests de sécurité et la création de standards sur la transparence et la lutte contre les biais.

Mais l’essentiel du cadre repose encore sur l’autorégulation des grandes entreprises du secteur, à l’image d’OpenAI, Google ou Microsoft. La priorité reste donnée à la compétitivité économique et à l’innovation.

Japon : priorité à la croissance et à la soft law

Le Japon adopte une approche volontairement souple, centrée sur l’encouragement à l’innovation. Aucune loi restrictive n’encadre aujourd’hui l’intelligence artificielle dans l’archipel. Le pays favorise la coopération entre entreprises et autorités via des codes de conduite non obligatoires, misant sur la confiance, l’éthique et la flexibilité pour attirer les investissements internationaux.

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Apple en difficulté en Chine : ventes d’iPhone en recul face à la montée des concurrents locaux

Freenews par Isabelle Deromas Lebocq le 24/04/2025 à 15:06:00 - Favoriser ||| Lu/Non lu

balise alt = ventes iPhone Chine 2025

Un premier trimestre 2025 sous tension pour Apple en Chine

Alors que le marché chinois des smartphones affiche une croissance de 3,3 % au premier trimestre 2025, Apple subit un net recul. Les ventes d’iPhone chutent de 9 %, passant à 9,8 millions d’unités contre 10,8 millions un an plus tôt. Alors que la tendance était plutôt inverse il y a quelques mois. Concernant les ventes iPhone en Chine en 2025, cette contre-performance relègue Apple à la cinquième place des fabricants de smartphones dans le pays, une situation qui contraste avec la croissance de 10 % enregistrée par la marque à l’échelle mondiale.

Des subventions locales qui favorisent les rivaux chinois

La stratégie gouvernementale chinoise pèse lourd dans ce revers. Pékin a lancé en janvier 2025 un programme de subventions offrant jusqu’à 500 yuans de réduction sur l’achat d’appareils ne dépassant pas 6 000 yuans. Xiaomi, Huawei, Oppo et Vivo ont su tirer parti de cette aide pour doper leurs ventes. Les iPhones, largement au-dessus de ce seuil tarifaire, en sont exclus. Les remises proposées par Apple n’ont pas suffi à compenser ce désavantage concurrentiel.

L’ascension des marques chinoises dans un contexte géopolitique tendu

Xiaomi s’impose désormais comme le leader du marché chinois avec 13,3 millions de smartphones vendus, suivi de près par Huawei (12,9 millions), Oppo (11,2 millions) et Vivo (10,3 millions). Cette dynamique locale s’inscrit dans un climat géopolitique marqué par des tensions entre la Chine et les États-Unis. Bien que les smartphones échappent encore aux droits de douane, les semi-conducteurs essentiels restent fortement taxés, impactant la chaîne de production d’Apple.

Une dépendance toujours massive à la Chine malgré la diversification

Apple continue de dépendre de son réseau de fournisseurs basés en Chine, avec plus de 150 des 187 partenaires clés localisés dans le pays. Malgré une volonté affichée de diversifier sa production vers l’Inde et le Vietnam, la firme reste vulnérable face à la politique commerciale chinoise et aux incertitudes logistiques. Ce contexte met en lumière la difficulté d’Apple à s’extraire de cette dépendance stratégique.

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